Boki a 17 ans. Il a passé beaucoup de temps dans la rue et dans différentes institutions comme les IPPJ. Que reste-t-il de ses placements ? Comment ces centres peuvent-ils transformer la vie d’un jeune et de son entourage ? Que reste-il dans la tête lorsque l’on se retrouve à l’extérieur ? De vieilles manies comme celles de demander l’autorisation pour aller aux toilettes et se lever tôt ?
Boki a réalisé deux textes qui parle de cette vie-là, et de la violence qu’il compare à de la survie. Il dit ne rien regretter, il dit pourtant vouloir trouver d’autres solutions car le bonheur ne peut pas se trouver là.
Bonne écoute !
Responsable du projet : Christian Falone