Mervi parle de la vie à Fedasil. Elle aimerait devenir médecin. Elle parle de la colère qui permet parfois au jeune de s’observer, de voir ce que l’on vit et ce que l’on veut être ou pas. Elle trouve que tout le monde a de la valeur en Belgique.
Ce qui motive la jeunesse, c’est d’aussi penser que le pouvoir se trouve dans cette nouvelle génération et à l’école, cela doit permettre à la jeunesse de progresser. Mais la vraie école se trouve aussi dans la vie.
Elle parle aussi de l’amour. Dans l’amour, il y a toujours de l’intérêt. A propos du passé, elle dit qu’il ne faut pas qu’il lui gâche son futur. Le mariage forcé, c’est être préparée à épouser un homme non aimé qui ressemble souvent à son propre père. "On apprend plus en choisissant son propre destin…".