Giorgia n’a que douze ans dans ce carnet de route. Ses idées, ses difficultés, sont celles d’un grande. Elle dit que depuis qu’elle est là, les choses ont changé. L’institution l’a changé. Des idées, des mots de grande dans le corps d’une jeune fille de 12 ans qui parle des autres de son âge, qui jouent encore à la poupée comme de vrais enfants, sans difficultés. Et pas abandonnés.